Il n'y a pas que les murs qui se griment. Mais saurez vous découvrir l'intrus ?

1 - Men in blue

2 - M...., je suis pas dans le rythme !

3 - Et ben voilà, je ne peux plus bouger !

4 - T'as le look Coco.

5 - Z'avez vu mes lunettes ? Trop la classe !

6 -Il se déguisait en cafard

7 - Plus dur, déguisement avec 4 bras !

Quelques archives finistériennes exhumées du disque dur en attendant d'aller y refaire le plein de photos.

N'oubliez pas le clic. Comment ça, je me répète.

Ici les albatros volent sur le dos !

Et les bateaux se prélassent sur le sable chaud. Il est interdit de rire car cela peut arriver !

J'ai même connu des températures qui frôlaient les 20° en plein été !

Je vous ai déjà proposé quelques facettes de l'Argentine, mais ne pas évoquer le tango serait une hérésie tant cet art est omniprésent dans la capitale. Et parler de tango sans évoquer Carlos Gardel me parait également impensable.

 Charles Romuald Gardès nait le 11 décembre 1890 à Toulouse. Fils de Marie Berthe Gardès, il arrive à Buenos Aires à l'âge de 2 ans avec sa mère, célibataire de 27 ans, partie du port de Bordeaux pour tenter sa chance dans le Nouveau Monde.

Très rapidement il devient chanteur dans les cafés pour gagner quelques pièces de monnaies. Son timbre de voix est apprécié et Charles Romuald parvient très vite à se faire une réputation dans les bars populaires de la capitale Argentine.

A 21 ans, il fait connaissance de José Razzano, surnommé "El Oriental" en raison de son origine uruguayenne, et avec lequel il va former un duo chantant des chansons créoles. C'est à cette époque que Carlos change son nom par celui qui le rendra célèbre dans le monde entier : Gardel.

Mais ce n'est qu'en 1917 qu'il est reconnu comme véritable chanteur de Tango en interprétant la chanson Mi noche triste car à ce moment là le tango était surtout musical et sans paroles.

Dans les années 20, Carlos Gardel va amener le tango en Europe, en se rendant célèbre en Espagne et en France. Dans les années 30 il ira conquérir New York et toute l'Amérique du Nord.

Le lundi 24 juin 1935, l'avion dans lequel il voyage s'écrase près de Medellin en Colombie, et Carlos Gardel meurt au sommet de sa gloire. La qualité de sa voix et sa mort prématurée feront de lui un mythe populaire.

Photos prises sur la plaza Dorrego dans le quartier San Telmo de Buenos Aires

1 - Jamais deux sans trois !

Voici donc le troisième et dernier volet consacré à la Tongariro Alpine Crossing présentée ici et là précédemment.

2 - Quelques reflets.

3 - L'émeraude est bien là.

4 - Une petite vue d'ensemble.

5 - Un passage nuageux et l'émeraude laisse sa place à des teintes plus classiques.

6 - Encore quelques réflexions.

7 - Comme vous le voyez, je n'étais pas seul !

8 - Vue sur le Red crater et derrière lui le volcan Ngauruohe aux lèvres rouges.

9 - Ça y est, il est temps de redescendre. Au 1er plan le lac Rotoaira et au fond on devine le lac Taupo.

10 - Et un petit clin d'oeil à Pastelle qui me disaist que le coin manquait de fleurs.

J'ai trouvé ces trois là sur le chemin du retour, mais c'est vrai qu'elles n'étaient pas très nombreuses.

11 - Et pour clore cette longue série, un panoramique réalisé avant de descendre sur les Émerald Lakes.

N'hésitez pas à cliquer sur les photos pour une meilleure définition.

Sun Voyager (Voyageur du Soleil), Sólfar en islandais, est LA sculpture de Reykjavik. La réalisation par Jón Gunnar Árnason de cette silhouette en acier inoxydable, suggèrant la sihouette d'un bateau viking, date de 1990.

C'est l'un des monuments les plus photographiés à Reykjavik. Et j'ai bien évidemment confirmé cette règle.

Il y a quelques jours sévissait un virus transmis par Robert. Plusieurs blogueurs avaient été touchés !

Je n'ai pas échappé à la contagion qui ne présente fort heureusement aucun danger. Par les temps qui courent, il est bon de le péciser.

1 - En cliquant sur la photo vous trouverez le cliché de départ.

2 - Un toucan que Pascale n'a pas dans sa galerie d'oiseaux !

 3 - D'après une oeuvre de Niki de Saint Phalle.

4 - Coup de ♥ pour Buren ?

5 - Captain America n'est pas dans le rythme.

6 - Lumière divine.

7 -  Tisser sa toile.

 8 - Des reflets un peu vagues, si j'ose dire.

 Merci encore à Robert pour le partage de son tutoriel.

Quelques photos exhumées de mes archives pragoises. Ça date !

Chanteur de rue

Pilote de carrosse pour touristes sous les spotlights.

En tombant sur les précédents portraits, j'ai également mis la main sur ces statues surprenantes que l'ont peut voir dans le parc Kampa à Prague.

Ces bébés sont l'oeuvre de David Černý, un sculpteur et artiste conceptuel tchèque.

Quelques fleurs pour vous souhaiter un bon WE et oublier l'actualité pendant quelques secondes.

Le clic est fortement recommandé.

1 - Une inconnue (tout au moins pour moi) pour commencer.

2 - Celle-ci vous la connaissez surement.

3 - Une autre inconnue.

4 - Ici, il doit s'agir d'une azurite (echinops ritro).

5 - Fleur de cosmos à coup sur !

6 - Celle-ci ressemble diablement à une fleur de pois de senteur.

7 - Pour compléter le bouquet, une petite fleur de potentille.

Pour faire suite à ces galets !

Ceux-ci en ont surement vu des vertes et des pas mûres pour se retrouver dans de si beaux draps.

Cette espèce pousse abondamment sur l'île de Sein. Contrairement à moi, le jardinier sénan semble avoir la main verte.

Ici, on recommande fortement aux visiteurs de cette petite île (58 Ha) de ne pas ramener de galets en souvenir. 

Contrairement à ceux figurant ci-dessous, il y en a de très très beaux sur certaines plages de l'île. Et si chaque visiteur en cueillait quelques uns, ça finirait par déshabiller les plages.

Un des quais est lui aussi passé au vert. Mais j'ai quand même pris le temps de marquer l'arrêt pour la photo.

Ici nous ne sommes plus sur l'île de Sein mais au bord de la baie de Douarnenez. Donc pas bien loin à vol de goéland, mouette ou tout autre volatile croisant dans les parages.

Une façon pour moi de me débarasser de cette photo verdoyante ! 

La siprale d'or (aussi appelée spirale de Fibonacci ou spirale de phi) est une des règles de composition en photo.

En cliquant sur le lien ci-dessus, vous verrez que cette règle peut également aider à recadrer une image. 

En cliquant ici vous obtiendrez une définition pas trop rébarbative de la spirale de Fibonacci. 

L'escalier menant au sommet de l'Arc de Triomphe semble répondre doublement à la définition de cette spirale.

Cette vue est prise du haut de l'escalier, avant de redescendre au pied du monument parisien.

Le 12 avril 2020 je postais une première publication relative à l'arrivée de ce foutu virus qui ne semble pas vouloir tirer définitivement sa révérence.

Lors du premier confinement, j'avais également réalisé ce photo-montage que je ne pensais pas vraiment poster. Finalement, le voilà !

Continuons à être vigilants...

La longère sous bulle est un petit clin d'oeil à Do de Capval. See you soon !

Tel est le nom d'un minaret que j'ai "rencontré" à Boukhara. Certainement le plus beau que j'ai pu voir à ce jour avec peut-être ceux de la mosquée Bleue à Istanbul.

Surnommé aussi la "tour de la mort", ce minaret construit en 1127 ne servait pas seulement à appeler les fidèles à la prière. Au XVII siècle les condamnés à mort et autres impurs étaient jetés du haut de celui-ci ! Ca rigolait moyen en ce temps là !!!

Lorsque l'on tombait " malencontreusement" du haut des 48 m de ce minaret les chances de s'en sortir devaient être minimes.

Ce minaret servait également de tour de guet le jour et de phare de la nuit. Pour ce faire on faisait bruler de l'huile au sommet pour guider les caravanes arrivant du désert.

La madrasa ( école coranique ) Mir-I-Arab fut construite à Boukhara en 1535 par le cheik Abdullah, chef religieux yéménite et guide spirituel d'Ubaydullah khan. Le financement de cette madrasa se fit grâce à la vente de 3 000 prisonniers perses, des musulmans chiites qui étaient considérés comme des infidèles et pouvaient donc être vendus comme esclaves.

Voici une petite variation sur une des 2 coupoles de cette madrasa.

Au premier plan un bout du minaret Kalon que je vous ai présenté il y a quelques jours. A revoir ici

André Malraux, ministre de la culture du général de Gaulle alors président de la république, commandera à Marc Chagall un nouveau décor pour le plafond de l'opéra de Paris en 1964.

Cette œuvre sera beaucoup décriée à l'époque et continue d'ailleurs de l'être de nos jours.
L’univers coloré de Chagall tranche avec le calme feutré du monument du Second Empire et ses tons rouge et or.
Cette oeuvre se divise en cinq sections de cinq couleurs différentes dédiées à différents compositeurs (vert pour Berlioz et Wagner, jaune pour Tchaïkovski, bleu pour Mozart et Moussorgski, rouge pour Ravel et Stravinsky et blanc pour Debussy et Rameau).

Ci dessous, quelques-unes des nombreuses peintures et mosaîques que l'on peut découvrir dans le hall du grand escalier et dans le grand foyer.

Les habitués le savent, ce genre de photo est généralement synonyme de vacances pour moi.

Je vais donc vous abandonner quelques jours histoire de faire le plein d'énergie avant que l'hiver ne s'installe définitivement.

Retour sur la blogosphère début décembre.

A très bientôt et une fois encore merci pour votre fidélité.

Oui je sais, ce post n'est pas vraiment d'une actualité brûlante, les photos datant du mois de mai 2014 ! Le problème, je devrais même dire, mon problème c'est que j'entasse les photos sur le disque dur et............que nombre d'entre elles y restent. J'ai même celles de l'édition de 2013 consacrée à Daniel Buren. Peut-être même qu'un jour vous aurez droit à une petite longue série consacrée à ce qu'il avait proposé en 2013.

Dans le cadre de Monumenta 2014 les artistes russes Ilya et Emilia Kabakov s'étaient invités sous la verrière du Grand Palais pour y installer leur Étrange Cité, qui s’étendait sur plus de 2 500 mètres carrés. Selon les artistes cette cité s’apparentait à une ville utopique.

Je vous ai donc sélectionné quelques photos de cette exposition qui n'avait pas manqué de me laisser perplexe à de nombreuses reprises au fil des découvertes réservées par cette Étrange Cité.

A commencer par cet exercice de trapézisme cosmique des plus improbables.

 Et si pour rencontrer un ange, vous empruntiez.......une échelle ? Voilà une des idées suggérées par les époux Kabakov.

Et dans leur cité les anges volaient en escadrille !

Cette rosace lumineuse de plus de 16 mètres de haut, de par la lumière changeante et la musique qu'elle diffusait, offrait une ambiance qui accompagnait le visiteur tout au long de sa visite.

Pour découvrir la ville utopique Emilia et Ilya invitaient le visiteur à longer les longues murailles blanches, débutant ainsi l'expérience métaphyique proposée par le couple Kabakov.

On pourrait presque se croire dans une ville méditerranéenne, et ce n'est pas Jean Claude qui me contredira. Je vous conseille d'ailleurs chaudement d'aller jeter un coup oeil chez lui, vous ne serez pas décu !

Un peu de perplexité semble-t-il...

Nef interstellaire ???

"Nous voulons que les visiteurs soient frappés à l'entrée, et restent marqués à la sortie...", espèrait Emilia Kabakov. Pari réussi pour ma part !

Les Arméniens commémoraient le 24 avril dernier le génocide perpétré en 1915 par les Turcs ottomans contre leurs ancêtres. A cette occasion des centaines de milliers d’Arméniens ont participé à une procession au Mémorial du génocide pour y déposer bougies et fleurs près de la flamme éternelle. Ce mémorial est appelé Tsitsernakaberd en arménien. 

En 2001, la France a été le premier grand Etat européen à avoir reconnu le génocide arménien.

Le monument est composé de plusieurs parties :

Une pointe de granite de 44 mètres de haut représente la renaissance de la nation arménienne. Cette pointe est divisée en deux parties, l'une couvrant l'autre, qui symbolisent les deux Arménies orientale et occidentale. Lorsque j'y suis passé, cette pointe et l'allée faisaient l'objet d'une restauration en vue du centenaire.

Le long de l'allée menant à la stèle, un mur long de cent mètres porte les inscriptions des principaux villages arméniens de l'Empire Ottoman dans lesquels ont eu lieu les massacres.

Douze stèles de granite sont disposées en cercle. Au milieu la flamme éternelle est le lieu de recueillement où chaque 24 avril des milliers de personnes viennent déposer une fleur.

Les Arméniens estiment qu’un million et demi des leurs ont été tués de manière systématique entre 1915 et 1917, pendant les dernières années de l’Empire ottoman, et une vingtaine de pays, parmi lesquels la France et la Russie, ont reconnu qu’il s’agissait là d’un génocide.

La Turquie récuse ce terme et évoque pour sa part une guerre civile en Anatolie, doublée d’une famine, dans laquelle 300.000 à 500.000 Arméniens et autant de Turcs ont trouvé la mort.

1 - A la veille de prendre ma pause estivale, je me suis dis qu'avec les fortes chaleurs à venir, quelques glaçons seraient les bienvenus pour raffraichir les boissons que vous ne manquerez pas de consommer sous les tonnelles. Par contre, comme vous allez le voir, je ne vais pas lésiner sur la quantité ! 

2 - Et malgré le titre, je ne vais pas vous proposer 50 nuances du glacier Grey mais bien davantage !

Vu de loin il ne semble pas très impressionnant mais il fait quand même 25 km de long et 5 de large. Pour mieux le visualiser, un clic sur le lien ci-dessus.

3 - Pour vous donner une petite idée, regardez ci-dessous le bateau devant cette péninsule. Et cette pénninsule est celle que l'on voit au centre sur la 1ère photo avec le glacier de part et d'autre.

4 - Les falaises sont moins hautes que celles du Perito Moreno mais peuvent quand même atteindre plusieurs dizaines de mètres de hauteur !

5 - Plus on s'approche plus les nuances de bleu sont saisissantes. Pour les nuances de gris, faut aller en librairie !

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8 - D'impressionnantes pointes se jettent dans le lac.

9 - Quelques beaux reflets également...

10 - Ou de belles flèches de cathédrale.

11 - Course de vitesse entres les deux caps ?

12 - Voilà ce sera tout pour ces nuances du glacier Grey.

Quelques photos qui devraient mettre un peu de couleurs dans ce WE Pascal.

Église de Saint Paul à la Réunion avec à gauche un flamboyant en début de floraison.

En bordure du lagon de Saint Gilles les Bains le rouge à pris le dessus sur le vert.

Cet arbre fut découvert au début du XIXème siècle sur l'île de Madagascar. En arrière plan il s'agit d'un filaos

Les fleurs sont composées de cinq pétales aux contours irréguliers

Bon WE à toute et tous.

1 - Petite balade dans le parc national de la Terre de Feu

2 - Ici aussi ça a semble-t-il brulé.

3 - Bain privé

4 - Quelques ouettes de Magellan

5 - Le congénère un peu à l'écart de la petite famille.

6 - Miroir

7 - Bucolique à souhait

8 - Un petit clic pour un grand format

9 -Bécassine de Magellan

10 - Baie de Magellan Lapataia (Bahia Lapataia)

11 -Les rives du lago Roca (pour le situer, voir le lien ci-dessus)

12 - Un autre petit clic s'impose ici aussi pour une autre vur du lac Roca.

Voici une version bretonne des Dalton qui gagne à être connue, enfin c'est mon avis.

 Avec de gauche à droite, une visiteuse, Sainte Riwanon (Christophe Le Baquer), Saint Laouenan (Olivier Lévêque) et Saint Merec (Kito) qui a pris les traits du Petit Prince (entre parenthèse le nom des sculpteurs).

Ces sculptures sont exposées sur le site de la Vallée des Saints (Carnoët - Côtes d'Armor). Je vous en avais parlé ici au début de l'aventure; à ce moment là il y avait une petite dizaine de statues exposées sur le site.

En Juillet prochain "L'île de Pâques" bretonne fêtera ses 10 ans et, à cette occasion, une 100ème sculpture prendra place sur le site.

Cette 100ème oeuvre est à l’effigie de Saint Piran, le patron de la Cornouaille britannique. Après avoir quitté la petite ville de Mabe en Angleterre (sculpteurs Stéphane Rouget et David Patton), elle a pris place à bord de La Nébuleuse, un ancien thonier dundee de Camaret reconverti en voilier de croisière. Elle est arrivée à Paimpol le 12 Mai et rejoindra le site de Carnoët fin Juillet après des étapes festives à Pontrieux, Guingamp, Callac, Glomel, Plouay et Guerlesquin. 

Si vous passez dans la région, je ne peux que vous conseiller d'aller découvrir par vous même toutes ces oeuvres. Et, cerise sur le gâteau, l'entrée est libre !

1 - Le phare de la Vieille est situé sur le rocher de Gorbella ("la roche la plus éloignée" en breton), entre la pointe du Raz et l'ïle de Sein.

Le jour de ma balade sur l'île de Sein, le temps était beau et calme ! Mais le Raz de Sein est souvent très agité et dangereux.

2 - Un proverbe breton illuste la nécessité qu'il y avait à construire un phare à cet endroit.

"Etre enez hag er beg, eman berred ar goazed" ou "entre l'île et la pointe, c'est le cimetière des hommes".

3 - Sa construction à duré 8 ans (1879-1887). 27 mètres de haut, 36 mètres au-dessus de la mer. Sa portée est de 33 kilomètres.

4 - Automatisé depuis le 14 novembre 1995, il est télécommandé depuis l'île de Sein. 

Certains d'entre vous se souviennent certainement de mes multiples publications sur la Tour Paris 13. Le treizième arrondissement continue sur sa lancée en proposant une exposition à ciel ouvert (et gratuite) de superbes fresques murales réalisées par des graffeurs talentueux venus des quatre "coins" de la planète.

Dans cette publication, je vous présente deux des trente et quelques oeuvres que comptent à ce jour cette expo nommée Boulevard Paris 13.

Celle-ci est l'oeuvre de l'artiste français Seth.

Elle représente un jeune garçon sur la pointe des pieds qui regarde de l'autre côté d'un vortex aux multiples couleurs. Il fait alors appel à notre imagination pour deviner ce qu'il y voit. Elle est visible au 110 rue Jeanne d’Arc.

"La Madre Secular 2" est une représentation laïque de la Madone réalisée par l'artiste chilien Inti au 81 Boulevard Vincent Auriol à Paris.

Le sacré s'invite pour démontrer que les lois de la Nature et celles de la Religion peuvent parfois cohabiter. La pomme de Newton remplace celle de la bible comme une allégorie à l'ère de la connaissance et du scepticisme.

La Madone de pied en cape.

Il y avait aussi matière à réflexion...

1 - En faisant le ménage sur mon disque dur (le confinement peut aussi servir à ça) je me suis replongé dans mon album Patagonie et j'y ai trouvé retrouvé quelques photos qui méritaient, je pense, une publication.

Et puis ça change de l'Islande...........pour quelques jours !       

2 - Mais pourquoi ce nom Spegazzini direz vous fort justement ?

Le glacier a été nommé ainsi en l'honneur du botaniste et mycologue italien Carlos Luigi Spegazzini (né en Italie, décédé en Argentine).

3 -  Le Spegazzini est situé de part et d'autre de la frontière entre l'Argentine et le Chili.

4 - Son front, situé sur les rives du lac Argentino, mesure entre 80 et 125 m de hauteur.

5 - Long de 25 km, sa superficie est d'environ 66 km².

6 - Le bleu se décline dans de nombreuses tonalités.

7 - Un gros plan pour confirmer mes précédents propos.

8 - Un des nombreux vaisseaux que l'on peut croiser sur le lac Argentino.

9 - Un iceberg se disloque dans un gros craquement (non audible pour vous ) et dans une grosse gerbe d'écume.

10 - Pour clore cette publication, un panoramique du site (n'oubliez pas le clic sur la/les photos).

1 - Retour dans le temps avec l'exposition Monumenta dont l'invité, en 2012, était le français Daniel Buren.

2 - A l'occasion de cette exposition, Daniel Buren crée Excentrique(s).

3 - Il s'agissait d'une installation de 377 disques translucides suspendus horizontalement entre 2,50 et 2,90 m au-dessus du sol.

4 - Le plafond du Grand Palais en levant le nez.

5 - L'ensemble remplissait presque entièrement le site, excepté sous la coupole centrale, où étaient disposés sur le sol des cercles réfléchissants où l'on pouvait voir son reflet.

6 - Chaque cercle, entre 2 et 6,50 m de diamètre, était composé de fer et d'une matière plastique bleue, jaune, rouge

ou verte.

7 - Un petit air de toboggan !

8 - Avant cette exposition D. Buren disait que son travail prendrait toute son ampleur avec le soleil.

Sans lui il serait non seulement différent mais aussi amputé de l’une de ses raisons d’être.

9 - Derrière (ou devant) le barreaux.

10 - Lors de ma viste ce soleil s'était malheureusement fait très discret.

11 - Mais quelques très courtes éclaircies m'avaient tout de même permis de comprendre les espoirs de D. Buren de voir le soleil bien présent.