La Vallée des Saints est un projet qui devrait donner naissance à une " île de Pâques " bretonne : un millier de statues en granit de 3 mètres de haut à l'effigie des Saints fondateurs de la Bretagne va au fil du temps composer le plus grand chantier de sculptures au monde dans les prochaines années.

Et c'est la ville de Carnoët dans les Côtes d'Armor ( située en Centre Bretagne entre Callac et Carhaix ) qui a été choisie pour accueillir ces statues .

Les sculptures sont réalisées en fonction des sommes d'argent récoltées . Sachant que chacune d'entre elles coûte environ 12 000,00 € il va sans doute falloir attendre un peu pour que la collection soit complète .

Saint Samson tourné vers Dol de Bretagne

Saint Paul Aurélien

Saint Patern tourné vers Vannes

.....mais cette fois en Cappadoce.

Voici donc le dernier ballet hebdomadaire................................que je vous avais promis il y a quelques mois et qui était resté planqué dans mon DD.

Ouhhhh là c'est haut !

 Si vous avez le vertige, fermez les yeux !

Slalom entre les cheminées de fée

Ladies and gentlemen atterrissage imminent, attachez vos ceintures.

Rase mottes pour cueillir quelques fleurs ?

Tutoyons les cimes !

N'oubliez pas de cliquer ! 

Tout le monde sait qu'au nord c'était les corons, mais ce que vous ne savez peut-être pas, c'est qu'au sud c'est les bolongs.

Et pour ceux qui ne le savent pas, le bolong est un chenal d'eau salée généralement poissonneux du fait de la présence de mangroves. Ces bolongs soumis à la marée sont typique des zones côtières du Sénégal et de Gambie.

Les visiteurs qui étaient là à l'ouverture de Perspectives en janvier 2010 se souviennent peut-être d'une photo qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à celle-ci. Il s'agit donc d'un rappel pour ceux là et d'une session de rattrapage pour tous les autres.

Noradouz, ou Noratus, est un village situé dans la province de Gegharkunik en Arménie, non loin des rives du lac Sevan (dont je vous ai parlé il y a peu de temps).

Ce village est réputé pour son ancien cimetière qui possède la plus grande concentration de khatchkars (littéralement pierre à croix) en Arménie. les sites regroupant plusieurs de ces pierres à croix sont généralement situés, comme ici, en surplomb des villes et villages.

 Sur un territoire de 7 hectares s'étendent à peu près 700 tombeaux qui datent du IXème au XVème siècle.

Chacun d'eux possède un ornement qui lui est propre. 

Les khatchkars sont des plaques rectangulaires qui peuvent atteindre 2m de haut.  Elles sont toujours tournées vers l’est et la face ouest porte le motif sculpté de la croix; elles sont souvent placées sur un podium et surmontées d’une petite corniche.

Les khatchkars portent souvent des inscriptions, dont le contenu est une prière pour le salut de l’âme du/des donateur(s) ou du défunt, qui permettent de les dater tout en indiquant leur fonction. Beaucoup sont des stèles funéraires placées à l’extrémité orientale d’une tombe, où se trouvent les pieds du défunt, tandis que sa tête est à l’ouest, de manière que, au Jugement dernier, il puisse se relever vers l’est, d’où viendra le salut.

Mais la fonction funéraire n’est pas la seule. On rencontre également des khatchkars à fonction votive ou commémorative au sens large, érigés à l’occasion d’un événement important, la fondation d’un monument ou d’un village, une victoire...

Chaque khatchkar est unique et ceux de la période qui s'étend du XIII au XIVème siècle se distinguent par un travail très fin. Les plus anciens sont au contraire moins travaillés comme par exemple celui du premier plan ci-dessous.

Mais on trouve également dans ce cimetière quelques tombeaux plus "classiques". Les sculptures retracent des scènes de vie du défunt.

Ces "locataires" préfèrent eux manger les pissenlits par les tiges...

Promis, le prochain post sera plus léger !

Monsieur attend une touche dans les eaux claires de la baie de Ha Long.

Le maillot jaune du meilleur pêcheur ? je n'ai pas vu ce qu'il a remonté, je n'en ai donc pas la confirmation.

On ne le sait peut-être pas assez, mais la pêche est une activité dangereuse.

Aussi il n'est pas inutile de se protéger, donc, sortez couvert !

Dans un des bras du fleuve Sông thu bồn à Hoi An

Dans le petit port de Lang Co, sur la route qui mène de Hué à Hoi An en passant par le col des Nuages

Et enfin une petite prise dans le delta du Mékong.

1 - Comme vous le voyez, rien à voir avec le célèbre condiment dijonnais. Je vous propose juste une petite balade sur le Sông Thu Bồn du coté de Hoi An au Vietnam.

2 - Artillerie lourde pour les deux premières photos.

3 - Ici on sent que l'amateurisme prime !

4 - Quelques minutes plus tard les deux quidams avaient pris la poudre d'escampette, mais les filets flottaient au vent.

5 - Au retour un beau nuage en feu pour nous raccompagner au port de Hoi An ou l'apéro nous attendait !

La semaine passée je vous ai montré quelques vues générales du monastère de Noravank. Aujourd'hui je vous propose de découvrir quelques détails qui méritaient, à mon humble avis, ces quelques photos.

1 - Le superbe portail de l'église Saint Karapet est surmonté de deux tympans qui comptent parmi les chefs-d'oeuvre de la statuaire arménienne. Ces créations sont dues à Momik (1250-1339), un éminent architecte et sculpteur de l'Arménie médiévale.

2 - Sur le tympan supérieur de la fenêtre, qui se termine en arc persan, est représentée la scène originelle de Dieu créant à son image Adam, auquel une colombe (sous la barbe du créateur) insuffle la vie. Sur le coté gauche la Crucifixion avec la Vierge, l'évangéliste Jean et le prophète Daniel allongé. Un clic sur les images au format paysage s'impose pour profiter de la finesse des détails.

 3 - Le tympan inférieur représente une Vierge à l'Enfant, la scène étant entourée de lettres liées aux sculptures par les motifs ornementaux des feuilles, des vignes et des fleurs. 

4 - La façade principale de l'église Saint Astvatsatsine superpose deux portails surmontés de tympans sculptés. Celui du haut est consacré au Christ-Dieu.

5 - Et celui du bas à la Vierge.

6 - Et comme dans tous les monastères arméniens, quelques khatchkars sont disposés ça et là.

7 - C'est sans doute le prince Smbat Orbélian qui est représenté à cheval, chassant le lion sabre au clair, sur un des nombreux bas-reliefs qui ornent le narthex de l'église Saint Karapet. C'est ce prince qui avait fait construire le gavit dans lequel se trouve ce bas relief.

8 - Sans doute un khatchkar ciselé par le sculpteur Momik évoqué précédemment.

9 - L'intérieur de l'église Saint Karapet avec le rideau rouge qui sépare le « Saint des Saints » du reste de l’église. Ce rideau trouve ses origines dans le Temple de Jérusalem.

10 - Un groupe de lycéens arméniens squattant l'escalier qui mène à l'étage de l'église Saint Astvatsatsine.

11 - Pour terminer cet article, une dernière vue de Saint Astvatsatsine réalisée au grans angle.

Hier je vous disais que l'apéro m'attendait à Hoi An. En voici la preuve !

Yec'hed mad ne m'a été d'aucune utilité dans cette taverne, mais si un jour vous allez en Bretagne et que vous avez l'opportunité de trinquer avec un autochtone, les occasions ne devraient pas manquer , yec'hed mad (à la bonne votre, santé, tchin tchin) est le mot de passe qu'il vous faut ! A prononcer yerr mat pour ne pas passer pour un parisien en vacance dans le coin.

Et comme je suis un type plutôt sympa, ce verre est pour vous !

Et un un petit dicton breton pour la route. Oui, je sais que ça n'a rien à voir avec le message mais comme c'est moi qui décide...

Dans la Bible, quand il pleut pendant 40 jours et 40 nuits, ils appellent ça le déluge. En Bretagne, on appelle ça l'été !
 

La place de Mai est le coeur historique et politique de la cité portègne. Elle est entourée des principaux centres de pouvoir de la ville et du pays : la Casa Rosada, la cathédrale métropolitaine, le Cabildo, le palais du gouvernement de Buenos Aires et le siège de la Banco de la Nación Argentina.

2 - Nous sommes bien en Argentine ! Et comme dans nombre de lieux touristisques, ici aussi on a de quoi satisfaire le voyageur en quête de babioles.

3 - Le cabildo. Autrefois ce terme désignait la mairie. Il fut le théâtre principal de la Révolution de Mai de 1810, qui entraîna la destitution du vice roi espagnol Baltasar Hidalgo de Cisneros.

4 - la Casa Rosada, l'édifice présidentiel du XIXe siècle à la couleur emblématique. 

5 - C'est depuis ces balcons surplombant les arcades que nombre de dirigeants politiques, tels Juan et Eva Perón, se sont adressé à la nation.

6 - La Plaza de Mayo est également un lieu d'expression du peuple. C'est autour de cette place que tournent depuis 1977 les Mères de la Place de Mai, coiffées de leurs célèbres foulards blancs. Les "folles de Mai" surnommées ainsi parce qu’elles osaient défier la dictature militaire, tournent tous les jeudis en mémoire des enfants et petits-enfants disparus (11 000 ont été formellement identifiés par l’État argentin) sous la dictature militaire de Jorge Videla (1976-1983) qui destitua Isabel Peron.

7 - La cathédrale métropolitaine que je vous présenterai de l'intérieur prochainement. Je lui trouve un petit air de famille avec notre Assemblée Nationale parisienne.

8 - Sur cette plaza de Mayo on trouve également ces quelques croix plantées là en mémoire des 649 victimes militaires argentines (255 coté britannique) de la guerre des Malouines.

9 - A deux pas de ces tombes fictives, un graff évoque ce conflit qui avait débuté le 2 avril 1982 avec le débarquement de l'armée argentine. Il s'était terminé le 14 juin 1982 par un cessez-le-feu qui donnait la victoire au Royaume-Uni

Malheureusement, je crains fort que le plein soleil ne soit pas d'actualité pour cette fin de semaine.

Vous pouvez donc oublier vos lunettes de soleil. 

Nombreuses ondées à prévoir............à peu près partout dans l'hexagone !

Et pas seulement dans l'Ouest comme aurait tendance à le penser certaines mauvaises langues.  

Un conseil, sortez couvert !

1 - Horloge

2 - Quelques chevaux du célèbre bassin d'Apollon.

2 Bis - Photo bonus

3 - Les tortues et lézards du bassin de Latone.

4 - Cérès - Été de Poultier.

5 - La Nymphe à la perle d'Etienne Le Hongre.

6 - Autour du parterre d'eau

7 - Mélange de matières....et de styles.

8 - Lion cracheur de feu d'eau.

9 - L'Enlèvement de Proserpine par Pluton, chef d'œuvre de François Girardon.

10 - Détail d'une oeuvre située autour du parterre d'eau.

11 - Détail d'un vase.

1 - Le monastère de Haghpat est le 1er monument arménien a avoir été classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. C'est l’un des plus importants d’Arménie avec Noravank, Sanahine et Tatèv. Les photos ont été réalisées sur deux jours ce qui explique les défférences de lumières.

2 - Sa construction s’étale grosso modo de 950 à 1250. Le monastère s'organise autour de l’église Saint Signe située ci-dessous sur la droite.

3 - La chapelle Sainte-Mère-de-Dieu (Sourp Asdvadzadzine, XIII^e siècle) ressemble à une église miniaturisée.

4 - Le clocher, construit en 1245, est une tour polygonale à deux étages, aux angles brisés et surmontée d'une rotonde dont la colonnade est coiffée d'un toit pyramidal.

5 -De hautes croix sont sculptées sur les murs percés de fenêtres en ogive et de baies géminées (groupées par deux).

6 - Une autre vue de l'église Saint-Signe (Sourp Nchan) qui fut achevée en 991.

7 - Pas trouvé d'informations sur cette stèle.

8 - La façade arrière de Saint-Signe.

9 - Le bas-relief se trouvant sur la façade représente le roi bagratide d'Arménie Smbat, et son frère Gurguén soutenant une maquette de l'église Saint-Signe.

10 - Des arches faites pour durer........et qui durent !

11 - L'autel avec le rideau que l'on retrouve dans toutes les églises arméniennes. Ce rideau est tiré pendant que le prêtre prépare le pain et le vin.

12 - Un des nombreux khatchkars de ce monastère.

 13 - Le monastère renferme un des plus remarquables khatchkar arrménien nommé Aménaprkitch (Sauveur de Tous) qui date de 1273. Ce chef d'oeuvre du sculpteur Vahram représente la Crucifixion. La représentation réaliste de la figure du Christ, de Sainte Marie et Marie Madeleine, des douze apôtres et des anges était révolutionnaire pour l'époque, précédant 100 ans à la Renaissance italienne. La couleur rouge est obtenue par l'utilisation de cochenilles, insectes de la famille des coccidés.

14 - Deux dernières vues du clocher-campanile.

15 - La der avec un peu de ciel bleu.

1 - Onde est le nom donné à ce "tas de tôles" par leurs auteurs Florian Pugnaire et David Raffini. 

2 - Cette oeuvre était exposée dans le cadre de la FIAC 2017 de Paris (foire internationale d'art contemporain).

3 - La création est composée de 24 tôles qui correspondent aux 24 images composant une seconde de film animé.

4 - Quoi qu'il en soit, j'ai bien aimé cette oeuvre, d'autant plus que pour un photographe il y avait matière à déclencher ! Je ne me suis donc pas privé.

 5 - En réalisant ma sélection j'ai bien essayé de ne pas vous submerger de clichés, mais il en reste quand même 9 à l'arrivée. Je ferai plus court à ma prochaine publication !

6 - Vision fantomatique

7 - Toles froissées.........mais pas forcément fâchées !

8 - Bizarre, vous avez dit bizarre ?

9 - En bonus un autoportrait totalement raté !

Bon WE à toutes et tous.

1 - Un 22 février dans le parc national du mont Cook en Nouvelle Zélande.

De la neige en plein hiver ! Pas vraiment un scoop me direz vous. Sauf que nous sommes dans l'hémisphère sud et que ce 22 février correspond donc à un 22 aout ici ! Pendant la nuit et au petit matin la neige avait saupoudré la région de 600 m jusqu'aux sommets situés à plus de 3.000 m.

2 - Monter au petit lac Searly se mérite et permet en principe de profiter d'une vue exceptionnelle sur le mont Cook (Aoraki pour les maoris) qui culmine à 3.724 m. Mais encore faut-il que le temps soit dégagé ce qui n'était pas vraiment le cas ce jour là.

3 - Et pour arriver là haut (1.340 m), il est préférable de ne pas avoir de problèmes aux genoux vu le programme proposé.

4 - Par moment un peu de ciel bleu faisait son apparition, laissant espérer une plus franche éclaircie.

5 - La 2 au format portrait (mais quelques minutes plus tard)

6 - Fenêtre ouverte au travers du brouillard

Suite à mon problème d'écran bleu de la mort d'il y a quelques semaines, j'ai été amené à replonger dans certains dossiers sauvegardés. J'ai retrouvé cette triplette qui méritait peut-être d'être publiée. 

En tout cas, il n'y avait grand monde au coeur de la Défense ce jour là.

La froideur des tours et du temps y étaient peut-être pour quelque chose...

Comme vous le savez tous (ou presque), le kiwi est l'oiseau emblématique de la Nouvelle Zélande.

Ce grand timide sort le jour..........uniquement si l'on a affaire à un somnambule. Il est donc difficile de le croiser sur les chemins de randonnées, sauf à randonner la nuit, chose que je ne fais pas encore.

Et pourtant...

Ah non, raté. Celui-ci c'est un nestor kéa ou plus simplement kéa. Une espèce de perroquet montagnard endémique du coin.

Il tire son nom de son cri puissant : keee-aa. Pas très original tout cela.

Ah, en voilà un vrai de vrai. Inutile de vous dire que ce spécimen albinos est extrêmement rare !

Après une approche des plus difficile, le voici en gros plan.

Peu de temps après il avait disparu. Le kiwi albinos ne semble pas faire bon ménage avec le soleil...

Je m'apprêtais à renoncer à l'idée de rencontrer cet oiseau quand soudain,venant de nulle part
surgit un aigle noir un kiwi vert. Non, ce n'est pas le bonhomme vert de Cetelem !

Pour ceux qui souhaitent découvrir le vrai kiwi austral, un petit clic ici.

Paris a la tour Eiffel, Reykjavik a Hallgrímskirkja !

La construction de l'église de Hallgrímur (ce n'est pas une cathédrale) a duré de 1945 à 1986. Guðjón Samúelsson, son architecte, s'est inspiré de la géologie islandaise, et plus particulièrement des orgues basaltiques présents sur l'île.

Petite vue depuis le lac Tjörnin.

Avec ses 74.5 m de hauteur, la Hallgrímskirkja est le point de repère incontournable de la ville.

Cette église doit son nom au poète et pasteur Hallgrímur Pétursson auteur des Psaumes de la Passion, un texte majeur de la littérature islandaise.

Leifur Eiríksson (né en Islande vers 970 - mort vers 1020 au Groenland) est un célèbre explorateur islandais dont la statue trône devant Hallgrímskirkja. 

 Leifur était l'un des trois fils d'Erik le Rouge, le fondateur de la première colonie viking nord-américaine au Groenland.

Il serait le premier européen à avoir découvert l'Amérique du Nord continentale (environ cinq cents ans avant Christophe Colomb !).

Les sagas islandaises relatent sa découverte de terres situées au-delà du Groenland, couramment identifiées aux côtes du nord-est de l'Amérique du Nord (très probablement le Labrador et/ou Terre Neuve).

...coquillages et crustacés.

1 - Ici, à Rauðisandur rien de tout cela !

2 - Bernique ! Pas la moindre patelle dans le coin. Mais j'ai croisé ce placide autochtone.

3 - Fin d'une belle journée dans les fjords du nord ouest de l'Islande.

4 - Petits et gros grains de sable.

5 - Ici on voit mieux les gros grains !

6 - Celui-ci avait déjà revêtu son pull over en prévision des frimas futurs.

7 - Pas de querelles de voisinage pour eux !

8 - Coté pile c'est pas la côte d'Azur. Pas de risque de se marcher sur les pieds.

9 - Et coté face il reste encore un peu de place.

10 - Toujours pas de palourdes, coques, bulots ou praires. Par contre, un zoziau est passé par là.

Je vous abandonne pour quelques jours. Direction la Normandie.

Une fois de plus, ma pose aura duré plus que prévu !

Et l'estivale se profile très prochainement. Mon retour sera donc éphémère.

Coté pile avec la falaise qui surplombe la ville du Tréport.

Pas davantage de promeneurs ou baigneurs coté face.

Teintes pastelle pour colorer la vie.

Bon WE à toutes et tous.

La vieille Dame depuis le jardin du Trocadéro.

Vue depuis le pont Bir Hakeim, avec au premier plan la statue équestre La France renaissante. Réalisée par Holger Wederkinch en 1930, elle a été donnée à la municipalité de Paris par la communauté danoise.

A l'heure bleue

50 ans après, j'y suis remonté !

Vue du Champ de Mars depuis le second étage

Pour changer un peu des coupoles, petite visite à la Sainte Chapelle au coeur de l'île de la Cité à Paris.

Le palais de la Cité, siège et résidence du pouvoir royal du Xème au XIVème siècle, abrite la Conciergerie et la Sainte Chapelle enchâssées dans l'actuel Palais de Justice.

Elle fut édifiée selon la volonté de Louis IX, entre 1242 et 1248, pour y conserver les reliques de la Passion du Christ. Parmi celles-ci, la plus célèbre, la couronne d'Épines, est acquise en 1239 pour une somme dépassant largement le coût de la construction de l'édifice lui-même.

Les Saintes Reliques appartenaient aux empereurs de Constantinople ( l'actuelle Istanbul ) depuis le IVème siècle. En les achetant, Louis IX accroit le prestige de la France et de Paris qui devient, aux yeux de l'Europe médéviale, une nouvelle Jérusalem.

Pendant la période révolutionnaire, la Sainte Chapelle subit de nombreuse dégréadations. Les vitraux restent malgré tout en place et à partir de 1846 une importante campagne de restauration est lancée pour donner au monument son aspect actuel.

La grande châsse.

La rose occidentale illustre le livre prophétique de Saint Jean : L'Apocalypse. Au centre de la rose, le Christ revient en gloire à la fin des Temps pour juger les vivants et les morts.

Petit retour du coté de Kenh Ga dans la baie de Ha Long terrestre.

Ici ça marche principalement à l'huile de coude.

Bien que je n'ai pas de certitudes, je suppose que ces panneaux permettent la navigation pendant la saison de la mousson où cet endroit doit certainement être submergé.

Lui je pense qu'il s'en fout un peu des ces panneaux !

Ouf, ça y est, les fêtes et ses excès sont derrière nous.

J'ai donc retrouvé mon magnifique clavier pour entamer cette nouvelle année ! 

Imaginant qu'il y a quelques curieux et curieuses parmi vous, je vous montre aussi ce que le Père Noël m'a apporté !

Comme vous le voyez il ne s'est pas foutu de moi !!!

Enfin, pour être plus précis, il ne m'a offert que la possibilité de faire la photo, la voiture appartenant semble-t-il à un certain Bond,  James Bond ! Vous connaissez ?

Le ramboutan, puisque c'est de lui qu'il s'agit, est aussi appelé litchi chevelu.

Pas difficile de comprendre pourquoi en regardant la 1ère photo.

Ca y est la cueillette est faite !

 Maintenant va falloir transporter ça vers les marchés du coin. Le deux roues est de rigueur, on est au Vietnam ne l'oublions pas !

La moto c'est pratique dans les petit chemins du delta du Mékong mais sur les bras du fleuve c'est moins évident !

Chargé jusqu'à la gueule, comme sur la bécane !!!

Ca y est c'est sur le marché.

Et ici c'est pas du commerce de gros. Mais question goût c'est incomparable !

Située au coeur de la Cappadoce, cette petite ville est un excellent point de chute pour aller à la rencontre des cheminées de fée. Cette cité était habitée jusqu'au début du XX^e siècle par des grecs orthodoxes qui ont été contraints au départ lors des échanges de population entre la Grèce et la Turquie en 1924. Je pense que j'aurais l'occasion d'en reparler lors d'un prochain post.

Ces photos ont été prises 2 jours différents d'où ces lumières bien différentes.

Architecture d'inspiration grecque pour les trois suivantes.

Entrée de la médersa ( école coranique ) dans un style islamique.