Du 16 novembre 2018 au 15 janvier 2019, le Jardin des Plantes de Paris a accueilli pour la première fois un parcours illuminé, émerveillant plus de 370.000 visiteurs (plus de 6.000/soirée), tout en éveillant les consciences sur la nécessité de protéger la biodiversité.

Au total plus de 60 structures monumentales, illustrant des espèces disparues ou en danger d'extinction.

Voici donc une première série de photos réalisées lors de cette exposition nommée Espèces en voie d'illumination. Clichés consacrés uniquement à des espèces disparues.

1 - Une vue partielle de de ce qui constituait l'arche d'entrée de cette expo.

2 - Difficile de ne pas penser à Manny et Pêche de l'Age de glace

3 - Le thylacine appelé également loup de Tasmanie ou tigre de Tasmanie. Cette espèce est considérée comme éteinte depuis 1936.

4 - Puis voici Diego, le tigre à dents de sabre.

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6 - Un tricératops qui ne figurait parmi les stars des différents opus de l'Age de glace.

7 - Le moa géant qui était incapable de voler, vivait dans l'île du Sud de la Nouvelle Zélande. C'est le débarquement des humains et de leurs animaux domestiques sur Aotearoa qui mit un terme à l'existence de l'espèce aux environs du XVème siècle.

Je ne risquais donc pas de le croiser lors de mon passage là bas !

8 - Ici nous sommes plutôt dans les vedettes de Jurasic Park

9 - Il a tout d'un T-rex !

10 - A nouveau Manny (ou Ellie ?) et Pêche

11 - A nouveau le moa géant. Il mesurait entre 2,5 et 3,5 m de haut (jusqu'à 4 m pour les plus grands mâles) et pesait entre 200 et 250 kg.

12 - Une autre vue de l'entrée.

Prochainement une seconde série consacrée à quelques espèces en voie de disparition.

Quelques essais de poses longues au bassin des Aigrettes à la Réunion.

1 - 15s - f 11 - 15 mm - 200 ISO - filtre ND1000

2 - 4s - f 14 - 15 mm - 200 ISO- filtre ND1000

3 - 4s - f 13 - 20 mm - 200 ISO- filtre ND1000

4 - 15s - f 14 - 15 mm - 200 ISO- filtre ND1000

Une nouvelle version de la 4, suite aux remarques pertinentes de Jean Claude et Yanik.

Comme vous le savez probablement, la Nouvelle Zélande est le pays des fougères. En voici un petit aperçu non exhaustif !

40% des espèces mondiales de fougères sont endémiques de Nouvelle-Zélande !!!

Le pays compte plus de 200 espèces natives que l'on retrouve dans pratiquement tous les habitats : plages, zones alpines, forêts tropicales, espaces arides et désertiques. Au total, il existe plus de 1200 variétés différentes.

La plus connue est considérée comme un des symboles de la Nouvelle-Zélande. C'est le logo de l'équipe de rugby néo zélandaise (les all blacks).

Son nom maori est ponga et silver fern en anglais. Sa particularité est d'être argentée sous les feuilles. Vous n'aurez donc aucun mal à l'identifier ci-dessous.

Le koru est le nom maori donné à la crosse de la fougère.

Ce koru stylisé est utilisé en tant que logo de de la compagnie Air New Zealand.

Les fougères sont le plus souvent arborescentes et les plus grandes peuvent atteindre une douzaine de mètres de haut.

En montant grimpant vers le sommet Roys Peak situé à 1581 m, une vue imprenable sur le lac Wanaka et son Christ Rédempteur.

Aux quatre coins d'chez vous qu'on va les'retrouver éparpillés par petits bouts, façon puzzle.

Moi, quand on m'en fait trop j'correctionne plus : j'dynamite, j'disperse et j'ventile...

J'espère qu'il en sera ainsi de nos soucis, de nos tracas, de nos contrariétés, des c.... qui nous pourrissent la vie et de tout le reste !

Mes potes et moi vous souhaitons une belle et heureuse année 2019 !

Juste un petit mot pour vous annoncer que je mets les voiles pendant quelques jours semaines.

Si je ne suis pas trop débordé , je passerai découvrir vos nouvelles publications.

Aujourd'hui, je vous offre un bouquet pour changer des feuilles mortes d'il y a quelques jours.

Je ne suis pas arrivé à les "baptiser" toutes.

1 -Je vais donc nommer celle ci Blanchette. Comment ça, c'est pas très original ? Si vous avez mieux, n'hésitez pas !

2 - Tulipe dentelle Blue heron. En la regardant on comprend le pourquoi de la dentelle. 

3 - La belle emplumée pourrait peut-être convenir à celle-ci.

4 - Tulipe Viridaflora red spring green. Son nom n'est pas très fun, mais je lui trouve pas mal de charme. 

5 - Tulipe double tardive Chato.

6 - Tulipe Darwin silverstream. Étrange car point d'onde argentée là dedans.

7 - Une autre tulipe dentelle.

8 - Une dentelle d'une autre teinte. Tulipe dentelle Valbella.

Ce nom de Trafalgar vous dit forcément quelque chose.
C'est là qu'en 1805 la flotte britannique de l'amiral Nelson mit la pâtée à la flotte napoléonienne soutenue par la flotte espagnole.

Comme je le fais remarquer régulièrement, le clic sur les photos est recommandé

Napoléon ambitionnant d'envahir la Grande Bretagne, il se devait de prendre le dessus sur sa flotte. Dans ce but, il confia la flotte française au vice-amiral Villeneuve. Celui-ci était à la tête de 18 vaisseaux français et de 15 vaisseaux espagnols.

Après avoir séjourné dans le port de Cadix, Villeneuve ordonne à ses troupes d'appareiller, et celles-ci se retrouvent face à 27 vaisseaux britanniques, le 21 octobre 1805, au large du cap de Trafalgar.

Bien qu'inférieurs en nombre, les marins britanniques commandés par le vice-amiral Nelson, sont plus expérimentés que les Français et les Espagnols. La tactique de Nelson s'avère payante et la bataille tourne au désastre pour le vice-amiral Villeneuve qui perd 22 vaisseaux sur 33.

Les Anglais n'en perdent aucun et ne comptent "que" 400 tués contre 4.400 chez leurs adversaires (ces nombres varient d'un source à une autre). 

Le vice-amiral Nelson paya cette victoire au prix fort, puisqu'il fut tué par balle lors de cette bataille.

Cette victoire conforta la suprématie britannique sur les mers plus d'un siècle durant, jusqu'à la première guerre mondiale.

Lors de mon passage le calme était revenu...

Le phare de Trafalgar

J'espère que cette leçon d'histoire n'aura pas été trop pénible.

1 - Un 22 février dans le parc national du mont Cook en Nouvelle Zélande.

De la neige en plein hiver ! Pas vraiment un scoop me direz vous. Sauf que nous sommes dans l'hémisphère sud et que ce 22 février correspond donc à un 22 aout ici ! Pendant la nuit et au petit matin la neige avait saupoudré la région de 600 m jusqu'aux sommets situés à plus de 3.000 m.

2 - Monter au petit lac Searly se mérite et permet en principe de profiter d'une vue exceptionnelle sur le mont Cook (Aoraki pour les maoris) qui culmine à 3.724 m. Mais encore faut-il que le temps soit dégagé ce qui n'était pas vraiment le cas ce jour là.

3 - Et pour arriver là haut (1.340 m), il est préférable de ne pas avoir de problèmes aux genoux vu le programme proposé.

4 - Par moment un peu de ciel bleu faisait son apparition, laissant espérer une plus franche éclaircie.

5 - La 2 au format portrait (mais quelques minutes plus tard)

6 - Fenêtre ouverte au travers du brouillard

Le titre est un extrat du livre de Sylvain Tesson - Dans les forêts de Sibérie

1 - Mais ici nous ne sommes pas en Sibérie mais en région parisienne.

 2 - Pas encore prête à passer par la fenêtre celle-ci.

3 - Dans le style, je fais la belle, j'ai celle-ci.

4 - Le tapis est posé !

5 - Détail du tapis

6 -Ce modèle semble avoir subi des substances radioactives...

7 - Il est aussi possible de poser le tapis sur l'eau.

8 - Un peu m'as tu vu cette triplette.

9 - Et cette soliste et son "ombre" je n'en parle même pas ! 

10 - L'escargot voulait-être sur la photo. J'ai donc attendu qu'il soit dans le cadre.