Le Hverfjall est un volcan situé sur le site du lac de Mývatn (le lac des mouches) en Islande.

Il est apparu il y a 2 500 ans et est le résultat d'une seule éruption.

Le cône fait environ 250 mètres de haut et 200 mètres de profondeur pour un diamètre de 1 200 mètres.

Le clic est fortement recommandé pour le panoramique.

Le cône fait environ 250 mètres de haut et 200 mètres de profondeur pour un diamètre de 1 200 mètres.

Le clic est fortement recommandé pour le panoramique (comme pour les autres).

Objectif lune c'était un peu ça ! Petit clic sur ce lien.

1 - Retour dans le temps avec l'exposition Monumenta dont l'invité, en 2012, était le français Daniel Buren.

2 - A l'occasion de cette exposition, Daniel Buren crée Excentrique(s).

3 - Il s'agissait d'une installation de 377 disques translucides suspendus horizontalement entre 2,50 et 2,90 m au-dessus du sol.

4 - Le plafond du Grand Palais en levant le nez.

5 - L'ensemble remplissait presque entièrement le site, excepté sous la coupole centrale, où étaient disposés sur le sol des cercles réfléchissants où l'on pouvait voir son reflet.

6 - Chaque cercle, entre 2 et 6,50 m de diamètre, était composé de fer et d'une matière plastique bleue, jaune, rouge

ou verte.

7 - Un petit air de toboggan !

8 - Avant cette exposition D. Buren disait que son travail prendrait toute son ampleur avec le soleil.

Sans lui il serait non seulement différent mais aussi amputé de l’une de ses raisons d’être.

9 - Derrière (ou devant) le barreaux.

10 - Lors de ma viste ce soleil s'était malheureusement fait très discret.

11 - Mais quelques très courtes éclaircies m'avaient tout de même permis de comprendre les espoirs de D. Buren de voir le soleil bien présent.

Ça fait très longtemps que je n'avais pas joué à ça.

 Révérence sur l'océan Indien (Réunion).

1 - A défaut de pouvoir voyager là où on le souhaiterait, je vous téléporte sur l'île sud de la Nouvelle Zélande avec une triplette réalisée le long de la rivière Haast.

Cette rivière transporte une grosse quantité de roches, de débris et de sédiments provenant des sommets enneigés de la région.

2 - Aval, coté mer de Tasman (photo prise du même endroit que la précédente mais en regardant à l'opposé).

3 - Un peu plus loin, en longeant la route menant à Wanaka. Ici, l’eau, comme la glace, laisse son empreinte.

Ou comment sortir de l'anonymat !

Quelques variations autour d'un iris.

Photo bonus

Et bien voilà, c'est reparti pour un tour.

Pour ceux, comme Phyll et d'autres, qui préfèrent sans doute les poissons (et peut-être aussi les femmes blondes) aux méduses, voici une autre versions !

Les Rêveries initiales sont à voir ou revoir ici.

 Pour cette publication, je passe allègrement de Versailles à la Nouvelle Zélande.

 1 - Voici quelques photos lointaines (au propre comme au figuré) du glacier Franz Josef, Ka Roimata o Hinehukatere en maori (“les larmes de Hine Hukatere”).

2 - Une légende se cache derrière ce nom maori. La jeune Hine Hukatere aimait escalader les montagnes, et réussi un jour à convaincre son bien-aimé de l’accompagner. Celui-ci, moins expérimenté que sa fiancée, fut malheureusement emporté par une avalanche.

Inconsolable, Hine Hukatere ne cessa de pleurer et ses larmes emplirent la vallée entre les montagnes, formant le glacier Franz Josef.

3 - Ce glacier long d'environ 12 km doit son nom à l’explorateur allemand Julius von Haast qui le nomma, en 1865, en référence à l'empereur autrichien François-Joseph 1er, empereur d'Autriche du 2 décembre 1848 au 21 novembre 1916.

4 - Ce glacier a la particularité de descendre pratiquement jusqu'au niveau de la mer. Pour cette raison, il est fortement menacé par le réchauffement climatique.

5 - Du fait de grosses intempéries les jours précédents, nous n'avons pas pu nous approcher du pied du Franz Josef. Voilà pourquoi je ne vous propose pas de photos plus proches que celle-ci (300 mm).

La Chapelle royale du chateau de Versaille a été achevée à la fin du règne de Louis XIV, en 1710. 

Jules Hardouin-Mansart propose le plan au Roi en 1699. En 1708 J. Hardouin-Mansart meurt sans avoir vu la fin des travaux. Ceux-ci seront achevés par son beau-frère Robert de Cotte.

Les fresques réunissent les peintres les plus talentueux de l’époque.

Sur la surface entièrement unie de la voûte, on retrouve une fresque consacrée à la Sainte-Trinité : au centre, Dieu le Père dans sa gloire par Antoine Coypel, dans l’abside La Résurrection par Charles de La Fosse et, au-dessus de la tribune royale, La Descente du Saint Esprit par Jean Jouvenet.

La musique fait partie intégrante de l’édifice, et ce dès la cérémonie de la bénédiction de la Chapelle royale, durant laquelle son orgue a été inauguré par François Couperin. L’instrument, réalisé par Clicquot se trouve exceptionnellement placé au-dessus de l’autel.