....... de l'année !                  Cette fois pas d'année sabbatique comme en 2012, je reviens en 2014.

Je vous accorde une petite pause sous les filaos au bord du lagon.

Il n'y a pas à avoir peur des requins, il ne s'aventurent pas jusqu'ici ! ( enfin en principe )

Vous pouvez donc faire trempette ou pagayer; l'eau est à 26, 27°, ça devrait aller.

Avec un peu d'imagination, si vous vous allongez sur le sable chaud vous verrez ceci !

Comment ça vous ne voyez rien ? Mettez vous sur le dos, vous verrez mieux !

Il fait un peu trop chaud ? Pas de problème, on peut se replier sous le flamboyant à deux pas de la plage.

Après quelques fleurettes réunionnaises, je me devais de vous proposer aussi quelques zoziaux locaux.

Ci dessous ( 3 photos ) le tec-tec ( saxicola tectes ) qui a pour habitude d'accompagner les randonneurs sur les sentiers de l'île.

La tourterelle péi ( pays ) ou gopélie zébrée ( geopelia srriata )

Le bulbul orphée, plus connu sous le nom de merle de Maurice ( Pycnonotus jacosus )

Pour terminer, le martin triste ( acridotheres tristis ) que j'ai également rencontré en Ouzbékistan.

Pas étonnant puisqu'il est originaire du sud de l'Asie.

J'ai remis le nez dans mon dossier de photos botaniques de la Réunion et j'en ai ressorties quelques unes.

Fleur de bananier

Fleur de frangipanier

Fleur de lotus

Fleur chapeau chinois

Tige d'un cactus bien protégé.

Pour changer de la tour Paris 13, je vous propose une petite devinette.

Où ai-je bien pu photographier ce temple tamoul ???

Les trois premiers sont réunionnais, le dernier est Cappadocien.

On comprend parfaitement l'expression lézarder en voyant celui-ci.

J'aurais du faire un panoramique pour éviter de l'estropier !  :o)

Un peu plus de méfiance pour le modèle Cappadocien...

Petite balade du coté du Cirque de Salazie à la Réunion. Alors pourquoi ce titre ?

Anchaing et Héva étaient les esclaves d'un riche propriétaire de la côte au vent. Pour fuir les brutalités de leur maître, le couple prit un jour la décision de s'enfuir au sommet d'une montagne réputée inaccessible au coeur du Cirque de Salazie. Par la suite le nom d'Anchaing fut donné à ce piton qui culmine à 1 351 m d'altitude . La légende dit qu'ils vécurent heureux jusqu'à l'arrivée du chasseur d'esclaves Bronchard. Il y a autant de suite à cette histoire que de conteurs, nourrissant les espoirs des uns ou le sens tragique des autres.

Mais pour tous, Anchaing et Héva constituent le mythe réunionnais de l'aspiration à la liberté et de la lutte nécessaire pour l'obtenir.

Le piton d'Anchaing se trouve légèrement sur la gauche, juste dessous les quelques nuages blancs que l'on voit au loin.

Avant de basculer dans le Cirque de Matafe en passant par le col des Boeufs, un coin d'ombre pour prendre des forces.

En prenant un peu plus de hauteur on devine mieux les limites du Cirque.

Le panoramique "cliquable" avec sur la gauche le Cimendef ( 2226 m ) et juste derrière lui la Roche Ecrite ( 2277 m ).

Les quelques habitués du blog se souviennent peut-être que j'avais commencé , il y a un peu plus d'un an ( ici ), l'ascension du Piton de la Fournaise à la Réunion. Je vous propose la suite de cette escalade avec quelques autres images.

Ci dessous une coulée de lave plus récente de couleur plus foncée.

La "cheminée" d'un four

Tout au long de la montée des marques blanches sont peintes au sol ou comme ici sur un kairn. Elles servent à se repérer lorsque brouillard et nuages s'invitent ce qui arrive généralement en fin de matinée. On voit l'arrivée de ceux-ci sur la droite de la photo ci-dessous.

Il est donc préférable de se lever de bon matin pour faire cette rando et pouvoir profiter du panorama !

Après deux bonnes heures de marche depuis le pied de la caldeira, arrivée au cratère Dolomieu.

Pour vous donner une idée de la taille du cratère il suffit de regarder l'hélicoptère qui survole le site.

Un petit panoramique pour terminer cette série ( cliquer dessus ).

Un spécimen réunionnais.

Survol du Piton de la Fournaise qui apparait sur la gauche . Sur la droite on voit le chemin qui traverse la plaine des Sables et mène au Pas de Bellecombe qui est le " rempart " ou la caldeira qui fait plusieurs dizaine de km . Au pied de ce rempart on devine le cratère de Formica Léo .

( plusieurs photos cliquables pour un Gd format )

La plaine des Sables  qui mène au Pas de Bellecombe ( contre jour au GA ) .

On devine le volcan au fond , dans l'axe de la " piste d'atterrissage " .

L'escalier qui permet d'accéder au bas de la caldeira . Plus de 400 marches !

Facile pour descendre , un peu moins lorsqu'il faut les remonter après une dizaine de km dans les pattes .

Le petit cratère que l'on voit sur la gauche est le Formica Léo qui daterait de l'année 1753 . 

Le cratère Dolomieu .

Au pied de la caldeira qui fait un peu plus de 100 m de haut .

Vous reconnaitrez maintenant le Formica Léo au fond à gauche et les points blancs sont des randonneurs . Ca donne une petite idée de la taille de la " cuvette "