Personnellement, je n'en suis pas convaincu ! Mais bon, les goûts et les couleurs...

Je me vois plutôt embarquer avec la foi.

Merci de vous éloigner du quai !
Le train pour les vacances va entrer en gare.

Comme vous l'avez surement deviné, je vais m'octroyer une pause estivale et en profiter pour prendre un peu de vacances et accessoirement faire quelques photos. Je vous souhaite un bel été et vous dit à très bientôt.

1 - Petite balade au sein de la zone géothermale de Wai-O-Tapu en Nouvelle Zélande (île du nord).

Après quelques hésitations, je vais vous proposer une seule publication sur ce site. Du coup, pas mal de photos à découvrir !

2 - Beaucoup de noms très évocateurs. Ici il s'agit du cratère du tonnerre (thunder crater). Pas très esthétique, mais ça donne une idée des différentes choses que l'on peut voir au cours de cette visite.

3 - Les terrasses violettes (primrose terrace). Ce sont des terrasses de silice d'une surface d'environ 1,5 Ha. L'eau qui coule de la piscine de champagne contient du silicate de chaux qui se dépose quand l'eau s'évapore, formant lentement la terrasse.

4 - La piscine de champagne (champagne pool) avec, à droite, la palette de l'artiste.

5 - La piscine de champagne est la plus grande zone du site avec environ 60m de diamètre et autant de profondeur. Cette piscine doit son origine à une éruption hydrothermale il y a 700 ans. En surface, la température de l'eau est de 74°c.

6 - Dans ce champagne on trouve de l'or, de l'argent, du mercure, du soufre, de l'arsenic, du thallium, de l'antimoine et quelques autres joyeusetés de ce genre.

7 - Ici on comprend un peu mieux le pourquoi du nom de la palette de l'artiste (artist's palette). Les couleurs changent continuellement en fonction du niveau de l'eau, du trop plein de "champagne" et, parait-il, de la direction du vent. Bizarrement, notre dépliant ne mentionnait pas l'âge du capitaine dans ces différents paramètres.

8 - La poêle à frire (frying pan flat), un ancien cratère maintenant rempli de sédiments.

9 - L'accès au différents bassins se fait en empruntant des sentiers ou des passerelles, comme ici.

10 - La piscine à huitres ! (oyster pool)

11 - Cette bassine sulfureuse devrait son nom à sa forme particulière.

12 - Quand je vous dis que ça sent le soufre !

13 - Voici le dernier bassin de la visite. Le bain du diable (devil's bath) que j'avais évoqué ici. La couleur provient de la forte présence d'arsenic dans l'eau.

14 - Des apparitions sont même possibles sur les 25 cratères, piscines et grottes repertoriés à Wai-O-Tapu !

15 - A l'extrémité du site, la vue sur le lac Ngakoro était assez sympa.

Il y a quelques semaines mois, je vous ai proposé une publication qui décrivait un 22 février (plein été là bas) dans le parc national du mont Cook en Nouvelle Zélande.

Cette balade devait nous permettre de découvrir le mont Cook que les maoris nomment Aoraki (que l'on peut traduire par le monde du ciel). 

1 - Lors de la montée des 1964 marches, tout laissait présager que le mont Cook se refuserait à nous et restearait dans les nuages. Mais en redscendant, les nuages commencèrent à disparaître tout doucement, nous redonnant un peu d'espoir.

 2 - La tête dans les nuages

3 - Et en quelques minutes, oh miracle, pratiquement plus un seul nuage ! Nous pouvions enfin voir Aoraki et ses deux yeux (que l'on devine juste sous le sommet du coté droit).

4 - Avec ses 3.724 m, c'est le sommet le plus élevé d'Aotearoa, le pays du long nuage blanc, que tout le monde connait sous le nom de Nouvelle Zélande.

5 - Quelques heures plus tard avec le lac Pukaki au premier plan.

6 - Bye bye Aoraki !

Je vous recommande chaudement de cliquer sur les photos pour une meilleure définition et aussi pour profiter pleinement des deux panoramiques.

1 - Welcome to Punakaiki et ses Pancake Rocks.

Avec ce nom, vous aurez vite fait le rapprochement avec le titre de ma publication.

2 - Ce site étonnant se trouve sur la côte Ouest de l'île du Sud à Dolomite Point. 

3 - La couche la plus ancienne remonte à 33 millions d'années ! Une période qui coïncide avec la deuxième extinction de masse depuis la disparition des dinosaures de ma dernière publication.

4 - A marée haute, lorsque les vagues de la mer de Tasman viennent heurter les Pancake Rocks, l'écume peut-être projetée à plusieurs mètres de hauteur créant ainsi de véritables geysers qui surgissent des blowholes (trous souffleurs) !

5 - Malheureusement, je n'ai pas eu le droit aux geysers faute d'une mer trop calme, de vagues pas assez puissantes et d'une marée pas suffisamment haute. Damned !

6 - Cet empilage fait tout autant penser à des millefeuilles qu'à des crêpes.

7 - C'est en s'engouffrant dans des failles comme celle-ci que se produisent les geysers, pour peu que les différents éléments soient au rendez vous.

Comme vous le savez probablement, la Nouvelle Zélande est le pays des fougères. En voici un petit aperçu non exhaustif !

40% des espèces mondiales de fougères sont endémiques de Nouvelle-Zélande !!!

Le pays compte plus de 200 espèces natives que l'on retrouve dans pratiquement tous les habitats : plages, zones alpines, forêts tropicales, espaces arides et désertiques. Au total, il existe plus de 1200 variétés différentes.

La plus connue est considérée comme un des symboles de la Nouvelle-Zélande. C'est le logo de l'équipe de rugby néo zélandaise (les all blacks).

Son nom maori est ponga et silver fern en anglais. Sa particularité est d'être argentée sous les feuilles. Vous n'aurez donc aucun mal à l'identifier ci-dessous.

Le koru est le nom maori donné à la crosse de la fougère.

Ce koru stylisé est utilisé en tant que logo de de la compagnie Air New Zealand.

Les fougères sont le plus souvent arborescentes et les plus grandes peuvent atteindre une douzaine de mètres de haut.

En montant grimpant vers le sommet Roys Peak situé à 1581 m, une vue imprenable sur le lac Wanaka et son Christ Rédempteur.

1 - Un 22 février dans le parc national du mont Cook en Nouvelle Zélande.

De la neige en plein hiver ! Pas vraiment un scoop me direz vous. Sauf que nous sommes dans l'hémisphère sud et que ce 22 février correspond donc à un 22 aout ici ! Pendant la nuit et au petit matin la neige avait saupoudré la région de 600 m jusqu'aux sommets situés à plus de 3.000 m.

2 - Monter au petit lac Searly se mérite et permet en principe de profiter d'une vue exceptionnelle sur le mont Cook (Aoraki pour les maoris) qui culmine à 3.724 m. Mais encore faut-il que le temps soit dégagé ce qui n'était pas vraiment le cas ce jour là.

3 - Et pour arriver là haut (1.340 m), il est préférable de ne pas avoir de problèmes aux genoux vu le programme proposé.

4 - Par moment un peu de ciel bleu faisait son apparition, laissant espérer une plus franche éclaircie.

5 - La 2 au format portrait (mais quelques minutes plus tard)

6 - Fenêtre ouverte au travers du brouillard

1 - Ces boules de pétanques XXL se trouvent en Nouvelle Zélande au nord de la province de l'Otago.

2 - Les Moeraki Boulders (boulders signifie rochers, blocs) se trouvent sur la plage de Koekohe.

Les plus petits rochers font une cinquantaine de cm et les plus gros environ deux mètres pour 7 tonnes sur la balance !

3 - Vous allez forcément me demander d'où proviennent-ils.

5 -Pour d'autres nous aurions affaire à une espèce inconnue d'oeufs de dinosaures.

 Cette hypothèse plutôt saugrenue a trouvé des défenseurs puisque des squelettes de dinosaures ont été découverts à proximité du site (un mosasaure et un plésiosaure datant du crétacé => -145,5 millions d'années à -65,5 millions d'années !).

6 - Certaines roches sont fendues et leur contenu couelur miel ressemble étrangement à un oeuf fossilisé (voir photo 4). 

7 - Selon les scientifiques il s'agirait de dépôts de calcites autour de noyaux de boue fossilisés. Personnellement je trouve cette version un peu décevante !

Et cette forme sphérique serait l'oeuvre d'une érosion de 60 millions d'années dans le sable. Mais cette version n'est pas totalement validée, quelques zones d'ombre existant encore.

Et voici la "poule pondeuse" en arrière plan ! Je vous laisse choisir l'hypothèse qui vous plait le plus.