Voici une version bretonne des Dalton qui gagne à être connue, enfin c'est mon avis.

 Avec de gauche à droite, une visiteuse, Sainte Riwanon (Christophe Le Baquer), Saint Laouenan (Olivier Lévêque) et Saint Merec (Kito) qui a pris les traits du Petit Prince (entre parenthèse le nom des sculpteurs).

Ces sculptures sont exposées sur le site de la Vallée des Saints (Carnoët - Côtes d'Armor). Je vous en avais parlé ici au début de l'aventure; à ce moment là il y avait une petite dizaine de statues exposées sur le site.

En Juillet prochain "L'île de Pâques" bretonne fêtera ses 10 ans et, à cette occasion, une 100ème sculpture prendra place sur le site.

Cette 100ème oeuvre est à l’effigie de Saint Piran, le patron de la Cornouaille britannique. Après avoir quitté la petite ville de Mabe en Angleterre (sculpteurs Stéphane Rouget et David Patton), elle a pris place à bord de La Nébuleuse, un ancien thonier dundee de Camaret reconverti en voilier de croisière. Elle est arrivée à Paimpol le 12 Mai et rejoindra le site de Carnoët fin Juillet après des étapes festives à Pontrieux, Guingamp, Callac, Glomel, Plouay et Guerlesquin. 

Si vous passez dans la région, je ne peux que vous conseiller d'aller découvrir par vous même toutes ces oeuvres. Et, cerise sur le gâteau, l'entrée est libre !

 1 - Les photos ont été faites sur deux jours d'où les conditions météo différentes.

2 - Le dernier étage est situé à 200 mètres du sol.

3 - Les 700 000 visiteurs qui accèdent chaque année à l'une des trois plates-formes peuvent admirer Auckland et toute la région.

4 - On y trouve deux restaurants, un hôtel et le plus grand casino de Nouvelle-Zélande.

 5 - Par temps clair, il est possible de voir jusqu'à 80 kilomètres.

Comme je ne suis pas monté au sommet, pas de vue depuis là haut.

1 - Petites variations sur la Sky Tower d'Auckland en Nouvelle Zélande.
Pour les amateurs de sensations fortes (dont je ne fais pas partie), il est possible d'y faire du saut à l'élastique !

2 - Avec ses 328 mètres de haut, elle se paye le luxe de dépasser Notre Tour Eiffel de quelques mètres ! Quel culot !!!

3 - L'architecte néo zélandais Craig Craig Moller est à son origine.

4 - Le pigeon Néo-Z semble s'en foutre un peu de tout ça !

5 - Après plus de deux ans et demi de travaux qui ont nécessité 15 000 m³ de béton et près de 3 000 tonnes d'acier, elle a été inaugurée le 3 mars 1997.

Les variations N°2, c'est pour demain.

Petite balade du coté de Wanchy-Capval (Seine Maritime)

Pour la coke, je vous conseille d'allez voir ici

Un OVNI, tout le monde sait ce que c'est.  Mais savez vous ce qu'est un OSNI ?

Bien que les usologues (ou ufologues) ne se soient pas encore prononcés sur ce cas précis, je suis persuadé que j'ai eu affaire à un Objet Stagnant Non Identifié) ou USO pour les anglophones (unidentified standing object).

J'ai observé ce phénomène lors de la FIAC 2017 (foire internationale d'art contemporain). Et, croyez moi si vous voulez, pendant un petit moment j'ai réellement cru qu'elle faisait partie des   oeuvres exposées. Mais ne voyant pas le panneau descriptif qui figure habituellement près de chaque oeuvre, j'ai du me rendre à l'évidence, je faisais fausse route.

L'oeuvre a fini par se lever et quitter le jardin des Tuileries...

1 - Onde est le nom donné à ce "tas de tôles" par leurs auteurs Florian Pugnaire et David Raffini. 

2 - Cette oeuvre était exposée dans le cadre de la FIAC 2017 de Paris (foire internationale d'art contemporain).

3 - La création est composée de 24 tôles qui correspondent aux 24 images composant une seconde de film animé.

4 - Quoi qu'il en soit, j'ai bien aimé cette oeuvre, d'autant plus que pour un photographe il y avait matière à déclencher ! Je ne me suis donc pas privé.

 5 - En réalisant ma sélection j'ai bien essayé de ne pas vous submerger de clichés, mais il en reste quand même 9 à l'arrivée. Je ferai plus court à ma prochaine publication !

6 - Vision fantomatique

7 - Toles froissées.........mais pas forcément fâchées !

8 - Bizarre, vous avez dit bizarre ?

9 - En bonus un autoportrait totalement raté !

Bon WE à toutes et tous.

Deux ans après ma dernière publication, me revoici dans la blogosphère que je n'avais pas réellement quittée puisque j'ai continué à suivre les publications de nombre d'entre vous.

Pour ce comme back, je me suis dit qu'un retour sur mes terres natales semblait opportun.

Voici donc quelques clichés rapportés de l'île de Sein.

1 - La première "version" du grand phare de l’île de Sein (ou phare de Goulenez) date de 1839. Cette version qui fonctionnait à l'huile de colza fut détruite par les Allemands le 4 août 1944.

2 - La "version" actuelle date de 1950 (fin de construction en 1951). Depuis 1876, la partie supérieure de la tour est peinte en noir.

3 - Il abrite la centrale électrique qui fournit l'électricité nécessaire aux Sénans et à l'éclairage de la lanterne. C'est sans doute la nécessité de surveillance de cette centrale électrique qui a permis le maintien des gardiens sur place plus longtemps que dans les autres phares.

Le départ des derniers gardiens a eu lieu le 23 décembre 2015.

4 - Ses dépendances renferment égalemement l’autoclave de désalinisation d’eau de mer qui permet l’alimentation en eau douce des Sénans.

Par contre, l'alcool consommé sur place provient directement du continent via les navires de la compagnie Penn Ar Bed !

5 - Hauteur : 50.90 mètres / Portée : 27,5 milles marins (environ 44 km)

Les marins qui craignaient autrefois les récifs redoutables et les courants violents du Raz de Sein disaient alors "Qui voit Sein, voit sa fin". D'où ce titre.

Comme vous le savez probablement, sur Canalblog, le clic sur les photos est fortement recommandé pour apprécier dans une meilleure qualité.