1 - Bon, je ne suis pas persuadé que ce soit une paille de premier choix pour la bretonne pie noir, la prim'Holstein, la blonde d'Aquitaine, la limousine, l'armoricaine, l'aubrac et autres vacheries de l'hexagone.

2 - J'ai réalisé ces moissons dans le jardin des Tuileries lors de la FIAC de 2014

  3 - En arrière plan une aile du Louvre

4 - Façon macro

5 - Si vous souhaiter siroter une boisson fraîche, y'a de quoi faire ! Normalement vous savez où trouver les glaçons.

Allez, pour finir de la bonne et vraie paille bien de chez moi photographiée par une belle journée ensoleillée !

Il y a quelques jours je vous ai montré quelques vues aériennes des célèbres cataractes d'Iguaçu pour peu que vous soyez du coté brésilien. Si vous êtes du coté argentin c'est Iguazú avec un Z comme dans Zorro.

1 - Aujourd'hui quelques vues réalisées sur les rives brésiliennes par une belle journée.

2 - Haute en moyenne de 80 m de haut et longue de 2 700 m, la cataracte qui se déploie en semi-cercle est certainement l’une des plus spectaculaires du monde.

3 - En face, la rive argentine avec sur la gauche Salto Mbigua et sous la passerelle, Salto Bernabé Mendez.

4 - Inutile de vous dire qu'il est préférable de tenir son réflex au sec lorsque vous ne vous en servez pas, car la balade se fait dans un continuel nuage de vapeur d'eau.

5 - D'un des plus hauts points de vue, l'ensemble est également assez impressionnant

6 - Et toujours cette brume finalement bien raffraichissante vu la température ambiante qui avoisinnait ce jour là les 34°c.

7 - Et je ne vous dis pas le débit du "robinet" !

8 - Les plantes vertes s'accrochent aux premières loges !

Une ou deux séries suivront sur ces fantastiques chutes d'eaux.

Je suppose que vous voyez le rapport avec le titre du jour, sinon écoutez donc ceci et vous y trouverez la réponse.

Ne sachant pas repriser les accrocs que subit sa toile, l'épeire diadème tisse chaque matin une nouvelle toile comme d'autres refont leur lit ! Le piège à insectes qu'est la toile fait une cinquantaine de centimètres de diamètre et font au moiins une vingtaine de mètres de fil. Et pour compenser l'énergie dépensée à cette tâche, l'épeire ingère la toile de la veille pour en recycler les sucres et les acides aminés.

1 - Difficle de ne pas se rendre en Martinique sans aller jeter un oeil sur ce rocher symbole de la commune qui porte son nom et qui a prêté son nom et son image à la baie du Diamant.

2 - Ce rocher était jadis un ancien abri de pirates et il fut également un point fortifié pendant les combats entre Français et Anglais. Toujours eux !

3 - Ces deux là n'ont que faire du célèbre rocher !

1 - Si vous avez apprécié mes couleurs picardes au format portrait, peut-être les aimerez vous également au format paysage.

2 - Une harmonie plutôt réussie entre les couleurs pimpantes des façades et le blanc des cabines.

3 - Une belle enfilade colorée !

4 - J'ai même eu le droit à un beau crépuscule en pleine journée.

5 - Pour cette photo ci, vous ne pouvez pas imaginer le temps que j'ai passé à attendre que cette mouette se "pose" là !

6 - Chaque cabine a, comme il se doit, un petit nom marrant.........ou pas.

7 - Je vous laisse avec un agréable vent d'ouest qui avait fini par chasser les quelques nuages.

1 - Après le bestiaire d'hier, voici quelques vues plus conventionnelles du monastère arménien de Géghard. Celui-ci est niché à 1600 m d'altitude au pied de parois rocheuses.

2 - Ci-dessous une des chapelles troglodytiques agrémentée de quelques khatchkars.

3 - Un khatchkar brisé. J'espère que ça ne porte pas malheur !

4 - Des croix de pierre taillées sur les murs.

5 - Quelques autres taillées à même la roche d'une galerie menant aux pièces rupestres.

6 - Au fond de la chapelle rupestre jaillit le filet d'eau d'une source qui pourrait-être à l'origine de la fondation du monastère. De nombreux arméniens viennent y tremper les pieds (ça porterait bonheur) et aussi brûler quelques bougies sous la voute.

7 - Encore quelques khatchkars

8 - Comme nombre de monastères et églises arméniens, ici aussi c'est un tambour cylindrique de pierre, parcouru de fines arcatures qui coiffe l'ensemble.

9 - L'aspect actuel du monastère remonte pour l'essentiel au XIIIème siècle.

Le bestiaire que je vous propose ce jour provient du monastère arménien de Géghard. J'espère qu'il ne vous laissera pas de marbre ! 

1 - Dans l'enceinte de ce monastère, de nombreux bas reliefs représentent des animaux comme ce lion et cet aigle terrassant une colombe (?)

2 - A moins que cette colombe ne soit un pigeon comme celui-ci....

3 - ...ou ceux-là.

4 - A l'intérieur de la petite église rupestre on peut voir les armoiries des princes Proch Khalbakian, noblesse locale connue sous le nom de Prochian. Ces princes avaient racheté ce monastère en 1240.

Le bas-relief représente une tête de boeuf tenant en laisse deux lions à queue de dragon, entre lesquels se dessine un aigle tenant un agneau dans ses serres.

5 - Sur un des murs de l'église extérieure, un lion combattant un buffle.

6 - Pour terminer cette série, un drôle d'oiseau chapeauté au pied du khatchkar.

Ces grandes eaux ne sont pas celles du château de Versailles mais celles des chutes d'Iguazú, situées à la frontière du Brésil et de l'Argentine. 

1 - Allez, c'est parti pour un tour !

2 - Le fleuve Iguazú prend sa source dans l'état du Parana au Brésil et ce nom d'Iguazú provient de la langue guaranie signifiant "grandes eaux".

3 - Après un parcours d'environ 1 320 kilomètres, dont 1 205 exclusivement en territoire brésilien et 115 servant de frontière, le rio Iguaçu se jette dans le rio Parana au niveau de la Triple frontière entre Argentine, Paraguay et Brésil. 

4 - 23 kilomètres en amont de cette Triple frontière, se trouvent les chutes qui font aujourd'hui partie du Patrimoine mondial de l'Unesco. 

5 - En vous y penchant d'un peu plus près, vous apercevrez quelques unes des passerelles qui permettent de s'approcher au plus près des cataractes.

6 - Au premier plan le coté brésilien et au fond celui de l'Argentine.

7 - Au premier plan la Garganta del Diablo (Gorge du Daible) qui est ceretainement la chute la plus impressionnante du site.

Après ces quelques vues aériennes, je vous proposerai dans les jours à venir des vues plus "terre à terre" de ces Iguazú falls.

Pour faire suite au truc en plume d'hier, en voici une autre version quelque peu différente.

Je regrette de reprendre mes publications par cette longue série au goût amer, mais comme vous l'avez remarqué, la période estivale n'a pas été synonyme de trêve pour les mauvaises nouvelles.

Des images satellite de l'ONU ont confirmé les propos de l'Observatoire syrien des Droits de l'Homme annonçant la destruction le dimanche 30 août, de l'un des temples les mieux conservé de la cité antique de Palmyre en Syrie, le temple de Baal. Cette photo diffusée par Daesh source semble confirmer, elle aussi, cette information.

1 - Surnommé la "perle du désert", le temple de Bêl était considéré comme l'un des plus beaux temples du Moyen-Orient avec celui de Baalbeck au Liban.

2 - Il avait fallu plus d'un siècle pour le construire. Commencée en l'an 32 de notre ère, son érection s'était achevée au second siècle. Avant la guerre, 150.000 touristes visitaient le site de Palmyre chaque année.

3 - Il allie de manière unique l'art oriental et l'art gréco-romain. Il possède encore tous les attributs du temple antique : l'autel, le bassin, les colonnes... expliquait il y a quelques semaines le directeur général des antiquités et des musées de Syrie, Maamoun Abdelkarim qui était, à juste raison, très pessimiste sur l’avenir du site de Palmyre.

Khaled al-Assaad, l'ancien directeur des Antiquités de Palmyre a lui été assassiné le 18 août par Daech en public.

4 - Le sanctuaire central (cella) a été construit au début du Ier siècle après J.-C.

5 - Plusieurs dieux étaient adorés ici, mais le principal était Bêl pour les Palmyréniens, Zeus pour les Grecs, Jupiter pour les Romains.

6 - Vu sous un autre angle.

7 - Une version N&B pour compléter les différents points de vu précédents.

8 - Quelques beaux bas reliefs subsistaient.

9 - Accompagnés de belles frises comme celle-ci.

10 - Le plafond monolithe de la cella.

11 - Le grand portique à double colonnade d'ordre corinthien.

12 - De nombreuses colonnes jonchaient déjà le sol (voir les photos 2, 3, 4 et 5). Maintenant il n'en reste plus aucune debout ! 

13 - Le 23 août, l'E.I. avait déjà commencé son "oeuvre" en détruisant à l'explosif le petit temple de Baalshamin, abattant la cella (partie close du temple). Cette destruction avait entrainé l'effondrement des colonnes.

14 - Cet autre joyau du site fut construit au second siècle de notre ère. Il était dédié à Ba'alshamin, dieu de l'orage et des pluies fertilisantes.

15 - Un arbre avait élu domicile dans la cella, certainement pour justifier les pouvoirs de Ba'alshamin.

16 - Quelques unes des colonnes de ce temple avaient la particularité de comporter des statues sculptées à même la masse.