Fin de la visite.

  En levant le nez, lorsque l'on est au pied du grand escalier on découvre 4 compositions allégoriques éclairées par la verrière et quelques lampes. 

Détail du plafond de la Lune peint par Rubé et Chaperon.

Une vue partielle de la rotonde du Glacier et de son plafond orné d’une Bacchanale.

Quelques uns des accès aux loges et balcons.

Et par chance, ce jour là, la salle était accessible !

 Quelques unes des loges ( 538 places au total ).

Une autre version partielle du plafond et du grand lustre ( plus de 7 tonnes ! ).

Pour la petite histoire, ce lustre est tombé sur le public lors d'une représentation en mai 1896, faisant un mort et plusieurs blessés.

 Personne aux balcons ce jour là !

Sur le grand escalier.

Réflexion dans l'avant Foyer menant du grand escalier au grand Foyer.

Merci de m'avoir accompagné dans cette visite.

Et dire que pour accéder au viaduc il m'a fallu défier cette bête féroce !

N'oubliez pas de cliquer !

A l'arrière plan le mont Ararat et ses 5 165 mètres d'altitude.

Vous les voyez ?

Je ne parle évidemment pas de celles qui se trouvent au premier plan, mais de celles agrippées au flanc de la montagne.

Une bande de copines.

Bon, ça y est, tu l'as ma photo ???  Oui oui, c'est bon !

Des admiratrices de Spitakavor. Pas de méprise, ce n'est pas un héros de BD mais un monastère !

J'y reviendrai d'ailleurs ultérieurement à ce Spitakavor.

La visite continue, avec aujourd'hui un bric à brac.

De nombreuses peintures allégoriques, dont celle-ci que j'ai bien aimé.

Puis une pendule qui donne les jours et les mois ( elle ne semblait pas être à "l'heure" ! ),

Un peu de dorure, 

Et un lustre collé au plafond ! Normal me direz vous.

A la boutique j'ai croisé un ange sexué ! ( Tout fout le camp ma pôve dame )

J'y ai aussi croisé quelques lumineuses ballerines.

J'ai franchi la porte aux cariatides avec la Tragédie portant un glaive et la Comédie, une harpe d'or à la main.

J'y ai apprécié le beau drapé de la Comédie,

Découvert une autre allégorie dans le grand foyer qui fut conçu comme un lieu de promenade pour les spectateurs pendant l'entracte.

Dans la rotonde du Glacier j'ai remarqué cette tapisserie évoquant le thé ( si si, en regardant bien on devine une théière posée sur le plateau rouge ). Les autres tapisseries parlent elles de la pêche, de la pâtisserie, des glaces, du vin, du café...

Et enfin j'ai admiré la "parure" de ces colonnes visibles elles aussi dans le grand foyer.

Quelques archives exhumées du disque dur.

Retour de pêche au petit matin au nord de l'île de Bali du coté de Lovina Beach.

André Malraux, ministre de la culture du général de Gaulle alors président de la république, commandera à Marc Chagall un nouveau décor pour le plafond de l'opéra de Paris en 1964.

Cette œuvre sera beaucoup décriée à l'époque et continue d'ailleurs de l'être de nos jours.
L’univers coloré de Chagall tranche avec le calme feutré du monument du Second Empire et ses tons rouge et or.
Cette oeuvre se divise en cinq sections de cinq couleurs différentes dédiées à différents compositeurs (vert pour Berlioz et Wagner, jaune pour Tchaïkovski, bleu pour Mozart et Moussorgski, rouge pour Ravel et Stravinsky et blanc pour Debussy et Rameau).

Ci dessous, quelques-unes des nombreuses peintures et mosaîques que l'on peut découvrir dans le hall du grand escalier et dans le grand foyer.

...avec les pompiers d'Albi.